Le débat autour des radiateurs à inertie continue toujours de semer des doutes dans le cœur de bon nombre de personnes. Pour certaines personnes plus l’inertie est élevée, moins le radiateur consomme d’électricité. Par contre, pour d’autres l’inertie fluide et l’inertie sèche n’ont rien à voir. La suite dans cet article.
En quoi le radiateur à inertie est-il confortable ?
Comme vous le savez, presque tous les radiateurs électriques fonctionnent avec toute leur résistance électrique à pleine puissance. Ils sont conçus et régulés par une succession de cycles de marche/arrêt dont la durée est déterminée en fonction des besoins de chaleur. L’inconvénient est que ces besoins sont mesurés par les thermostats d’ambiance électronique. Autrement dit, les microcoupures sont longues. En effet, grâce à l’inertie le radiateur n’a pas le temps de se refroidir. Les coupures sont donc imperceptibles. Ensuite, les radiateurs à inertie diffusent une chaleur douce, sans mouvement d’air. Ils fonctionnent de manière discrète sans assécher l’air ambiant qui se réchauffe au contact de la surface de l’appareil. De plus, il ne soulève ni brûle la poussière comme on le constate avec les convecteurs électriques et les panneaux (dits) rayonnants. Clique ici en savoir plus.
Quels sont les différents types de radiateurs à inertie
Il existe deux différents types de radiateurs à inertie. Le radiateur à inertie sèche et le radiateur fluide.
• Le radiateur à inertie sèche : est souvent limité par le poids, qui doit rester raisonnable. C’est un système chauffant, destiné à homogénéiser la température de surface du radiateur de sorte à répondre aux exigences normatives qu’est l’homogénéité de la température de contact.
• Les radiateurs à inertie fluide : ils sont généralement composés de tubes, ronds ou plats, remplis d’un fluide caloporteur qui permet à transporter l’énergie calorifique. Ils sont capables de fournir en 20 minutes, la chaleur, douce, constante et homogène, qui se propagera dans la pièce.